Un nouveau cadre pour le transfert des données, mais lequel ?

Le 25 mars, à Bruxelles, la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le président américain, Joe Biden, ont annoncé un accord de principe sur un nouveau cadre pour le transfert de données transatlantique. «Nous parvenons à équilibrer la sécurité et les droits à la vie privée et à la protection des données», a assuré Ursula von der Leyen. Les détails de cet accord entre les États-Unis et l’Union européenne, très attendu depuis l’invalidation en juillet 2020 du Privacy Shield, ne sont pas encore précisés.

La connaissance comme arme ultime

Les données des entreprises sont leur richesse : savoir-faire unique sur un marché, données sensibles sur les clients, brevets, finances, projets futurs non dévoilés… On ne pense pas que ces informations qui sont là sur les ordinateurs, sont aussi ailleurs et exploitables par des tiers.

Or, si les entreprises savaient concrètement qui peut lire toutes ces données et légalement les exploiter, les réactions seraient probablement immédiates. Et pourtant, en prenant le temps de lire les CGV des outils utilisés, on comprend clairement qui exploite ces précieuses données.

Alors, oui, c’est long, pas agréable, mais cette connaissance reste la dernière arme dont les entreprises disposent pour être en maitrise.

Les solutions tout aussi efficaces existent

Il suffit de lire les CGV des outils hébergés en Europe et le détail du Cloud Act pour voir que c’est là que se trouve la solution pour les entreprises qui veulent protéger leurs données. Et ces outils sont tout aussi efficaces que les mastodontes qui trustent le marché. Là aussi, c’est la connaissance de ces outils qui va faire la différence.

C’est le choix que doivent faire les entreprises à un moment donné, un virage (pas si serré) à prendre pour s’assurer de ne pas avoir à gérer des conséquences désagréables à moyen ou long terme.

En exploitant ses données elle-même, l’entreprise sert mieux ses clients, accélère le flux des idées, augmente la productivité, améliore le travail des collaborateurs. Disperser ses données, c’est offrir ses propres atouts sur un plateau.

eMANA est l’un de ces outils qui garantit la souveraineté des données, en l’occurence celles qui passent par email (autant dire TOUTES les données Business des entreprises !).

Nous vous proposons d’essayer eMANA gratuitement et amorcer votre virage.

Pour lire en entier l’article du magazine des Arts et Métiers, rédigé par Raynald Wauters, c’est ici.

Emilie LeCoguiecUn nouveau cadre pour le transfert des données, mais lequel ?